Droit de la famille

Surnommé « divorce à l’amiable » et conditionné par des délais plus courts, chacun des époux est assisté d’un avocat afin de s’assurer que les intérêts de chacun sont préservés. La rédaction de la convention de divorce reflète alors l’accord des époux sur les différents points.

Le cabinet vous accompagne à chacune de ces étapes afin de vous apporter les conseils utiles pour sauvegarder vos intérêts (tant au regard des mesures inhérentes à vos enfants que celles relatives à votre patrimoine).

• Le divorce judiciaire :

Il se subdivise en deux parties : une première partie portant sur les mesures provisoires ayant vocation à s’appliquer durant la procédure de divorce et une deuxième partie ayant trait aux conséquences définitives du divorce.

Les mesures provisoires s’entendent comme la fixation de la résidence des enfants, le droit de visite et d’hébergement du parent avec lequel les enfants ne résident pas habituellement, le montant de la part contributive du parent n’assumant pas la garde quotidienne des enfants, la jouissance du domicile conjugal, le paiement des crédits et charges de la famille, etc.

Le divorce peut être prononcé pour faute, altération du lien conjugal ou encore acceptation du principe de la rupture du mariage.

Le cabinet vous accompagne à chacun de ses étapes afin de vous permettre de préserver non seulement l’intérêt de vos enfants mais également votre intérêt tout en vous permettant de mettre à distance les sentiments négatifs liés à une telle procédure.

En outre, le cabinet vous apportera des solutions opérationnelles et adaptées à l’ensemble de vos demandes relevant de l’autorité parentale, de la filiation, de l’adoption ou encore des mesures de curatelle-tutelle.

Enfin, le juge des enfants peut ordonner diverses mesures d’assistance éducative afin d’apporter un appui social et éducatif aux familles et permettre ainsi à ces dernières de surmonter les difficultés et d’assurer le bien être des mineurs concernés.

Sa saisine peut être initiée par les services de l’aide sociale à l’enfance, le Procureur de la République, l’enfant ou son représentant légal, les parents. Cela vise les situations dans lesquelles l’intervention judiciaire est requise pour protéger des enfants mineurs dont la santé, la moralité, les conditions de vie ou la sécurité peuvent être menacées et compromises.

Le cabinet vous assiste également dans le cadre de ces instances.